Le Monde entier est triste à ce jour de la disparition de Steve Jobs à cause de son cancer. Le meilleur nous quitte toujours le premier. Chinetoque vas donner quelques réflexions ce soir après le travail sur La Mort d'un génie, Et Déclin de l'occident malgré les génies issus de ses peuples, qui ne peuvent sauver son pays.
En effet cette disparition regrettable rappelle que l'Occident avant tout est formé et poussé par les génies tels que Steve Jobs pour réussir l'industrialisation. Comme son contemporain Bill Gates et avant lui il y a Thomas Edison, Frères Bell. Et d'une façon plus théorique, Newton et Einstein, Lavoisier.
Cette grande civilisation poussée par les Génies est une civilisation hyper technologique. Nous constatons par la période de Vapeur, du Pétrole, et maintenant Informatique dont Steve Jobs était un père.
Dans une civilisation qui ne privilégie pas les génies, tel que la Société Confucianiste, d'un modèle plus plat: le génie d'invention n'est pas considéré comme primordial, mais la maîtrise de la culture ancestrale: en effet le concours impérial par lequel on sélectionnait les gouverneurs des provinces chinoises ne juge que la qualité d'écriture, les poèmes réalisés sur place devant l'examinateur par exemple.
Dans une telle société, c'est le mouvement collectif qui est privilégié, en quelque sorte c'est le modèle des fourmis: effort de masse sans donner la place au talent.
L'occident est une société d'élite: on invente une idée géniale pour faire moins d'effort physique possible dans la survie, ou dans l'obtention du confort: le modèle que Chinetoque qualifie de Cigale.
Pour le moment dans la mesure où l'invention des génies occidentaux peuvent être immédiatement partagés, tel que iPad, ou iPhone, et sont surtout implémentés et réalisés dans la société de l'effort de masse sans génie d'invention moderne pour l'instant, la société Fourmis est gagnante.
Pour cela que Steve Jobs avait fait fabriquer en Chine un iPhone pour 6.5 USD, ensuite vendu à 600 dollars en Occident. Ceci ne crée donc pas de travail chez notre génie, mais chez ses cousins en Chine, dans une société Fourmi.
La conclusion: pour mieux partager notre richesse planétaire, les fourmis doivent devenir un peu Cigale, et les Cigales doivent devenir un peu Fourmi. Il revient aux cigales de renoncer un peu la liberté individuelle pour plus obéir à un intérêt général et collectif, comme font les fourmis. Et au chef des fourmis d'abandonner un peu leur pouvoir despotique, afin de donner plus de liberté individuelle à son peuple.
La leçon est mutuelle.
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