La crise de la dette nationale chauffe en fer rouge en la belle contrée d'Italie, le taux d'intérêt d'emprunt d'état atteint 7,2%. La Banque centrale d'Italie limite ce taux à 8% au maximum, au-delà, c'est mortel économiquement... Or l'Italie s'en approche dangereusement... Malgré le départ programmé de son chef Silvio Berlusconi.
On voit que les docteurs européens guérissent la maladie des cigales en empruntant de plus en plus, on traite pas le fonds: l'assistanat:
Pour ne pas payer les intérêts d'emprunt, la solution est simple comme un jeu d'enfant: ne pas emprunter de l'argent sur le marché, ou diminuer la quantité d'emprunt. Pour cela la solution a deux volets:
- Diminuer les aides sociales, -20% par exemple. En même temps on diminue les salaires des ministres à 30% pour donner le bon exemple au peuple habitué à vivre dans l'oisiveté.
- Augmenter les taxes /impôts sur les revenus de non-travail: transactions financières, immobiliers, ...les revenus de rente.
Tous les pays européens tentent seulement la deuxième solution, en ignorant que la dette est creusée par les aides sociales. On s'en sort pas avec 50% de la solution.
Cette solution est valable, et d'urgence applicable à la France.... Quand ce n'est pas encore trop tard aujourd'hui le 10 novembre 2011.
Diminuer immédiatement de 10% d'aides sociales.
La démocratie rend cette solution inapplicable, certes, mais la solution douleureuse reste là et la seule malheureusement, sans d'autres illusions.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire