La démocratie débouche inéluctablement sur un état d'esprit de plaisir individuel au maximum.
On peut penser au Pape Jean-Paul II au jour de sa béatification, cet hédonisme était prohibé par le catholicisme dans l'Histoire Chrétienne.
En Occident, à nos jours, la poursuite de la satisfaction individuelle est protégée par la loi, encouragée par les médias, et totalement considérée comme normale par la société entière, donc non réprimée par la morale, surtout depuis 1968.
L'exemple concret est le divorce massif en Europe.
L'homme abandonne sa famille, ses enfants pour chercher du plaisir ailleurs. Je cite un exemple de l'excellence de la démocratie du monde, en France, le taux global du divorce environ 5% en 1914, 10% vers 1970, 30% vers 1985, 45% vers l'an 2001, grimpe à 52.2% en 2005, plus un mariage sur 2 terminent par un divorce...
La conséquence sociale est forte. Beaucoup d'enfants ainsi abandonnés par leur père sont pris en charge par l'état financièrement, leur maman étant subventionnée au titre de femme seule élevant des enfants, donc au dépens de la société.
Cet hédonisme est directement proportionnel à la liberté de la société. Avant tout l'homme est toujours attiré par le plaisir immédiat, s'échappe de la responsabilité qui demande des efforts et travail dès lors que l'environnement et la morale ne le réprouvent.
Avec la liberté croissante, même la Chine en état pré-démocratique ne s'échappe pas à la règle: des concubines pour les riches patrons en sont des exemples évidents.
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